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Taxonomy
Geotrypus was named by Pomel (1848). It is not extant.
It was assigned to Scaptonychini by Van Valen (1967) and Crochet (1995); and to Talpidae by Carroll (1988) and Vianey-Liaud et al. (2014).
It was assigned to Scaptonychini by Van Valen (1967) and Crochet (1995); and to Talpidae by Carroll (1988) and Vianey-Liaud et al. (2014).
Synonyms
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Synonymy list
Year | Name and author |
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1848 | Geotrypus Pomel |
1877 | Protalpa Filhol p. 52 |
1967 | Geotrypus Van Valen |
1988 | Geotrypus Carroll |
1995 | Geotrypus Crochet p. 60 |
2014 | Geotrypus Vianey-Liaud et al. p. 576 |
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G. †Geotrypus Pomel 1848
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†Geotrypus acutidentatus de Blainville 1840
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Invalid names: Geotrypus jungi Lavocat 1951 [synonym]
†Geotrypus antiquus de Blainville 1840
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Invalid names: Geotrypus arambourgi Lavocat 1951 [synonym]
†Geotrypus copernici Skoczen 1980
†Geotrypus ehrensteinensis Ziegler 1990
†Geotrypus montisasini Ziegler 1990
†Geotrypus oschiriensis de Bruijn and Rümke 1974
†Geotrypus tomerdingensis Tobien 1939
Invalid names: Protalpa Filhol 1877 [synonym]
Diagnosis
Reference | Diagnosis | |
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J.-Y. Crochet 1995 | Scaptonychini de formule dentaire souvent complète, la i3 étant réduite et parfois absente; canine inférieure incisiforme; prémolaires inférieures possédant deux racines; p1 caniniforme et biradiculée; p2 et p3 de petite taille et insérées obliquement, voir transversalement sur la mandibule, la racine antérieure étant en position plus labiale; p4 assez tranchante et plus basse que m1l avec une morphologie relativement variable; molaires inférieures avec des cuspides très élancées, des crêtes obliques aboutissant assez lingualement à la base de la muraille postérieure du trigonide, des entocristides très basses ou absentes et des cingulums antérieurs développés sur m2 et m3 et absents sur m1; m1 plus petite que m2; canine supérieure haute et avec deux racines; P1, P2 et P3, basses avec deux racines plus ou moins coalescentes; P4 avec un plan triangulaire en vue occlusale et 3 racines plus ou moins égales, la linguale étant souvent d'un plus petit diamètre, avec une unique cuspide plus ou moins haute et tranchante, possédant une crête postérieure rectiligne et avec un éperon lingual peu développé; M1 plus longue mais plus étroite que M2; Ml et M2 avec un mésostyle élevé, un peu allongé, le plus souvent légèrement dédoublé sur les molaires peu usées, généralement sans conule ou très peu marqués, très rarement individualisés, avec une protofosse très basse, avec un protocone élancé et pointu et avec des cingulums peu développés ou absents; paracône de M1 en position strictement labiale; humérus avec une diaphyse élargie à hards concaves, avec une palette distale nettement étalée et une proximale un peu rooms large, avec une gouttière bicipitale généralement non complètement fermée, avec un tuberéule du teres major situé au milieu de 1'os et son extrémité médiale légèrement orientée dorsalement (de 10 à 20°) et isolée de l’épiphyse proximale par une large échancrure, avec un tubercule pectoral en relief sur la face antérieure et situé un peu en dessous du tubercule du teres major et avec une fosse olécranienne peu profonde. |